photo Maous - Spectacle de danse contemporaine par la Cie Ecart

Maous - Spectacle de danse contemporaine par la Cie Ecart

Saint-Vallier 71230

Le 16/02/2022

Maous aborde, en trois tableaux, différentes facettes de la démesure, en convoquant des figures incontournables de l’art moderne. Tableau 1 : « Et si on gonflait des microbes » ? Exploration des contraires : lourd / léger, grand / petit, par le jeu des danseurs avec des ballons gonflés évoquant l’univers de Jeff Koons. Tableau 2 : « Parade 2.0 » : où l’on s’invite dans l’univers du ballet Parade, créé en 1917, en pleine période dadaïste, et auquel ont participé Picasso et Satie. Séquence émaillée d’instants insolites et drôles bousculant les codes du raisonnable, et rejoignant l’insouciance de l’enfance. Tableau 3 : « Dis-moi ce que tu vois » : La vitesse comme moyen d’animation, de déformation des corps des danseurs, jusqu’à ne presque plus les voir, en référence à la Roue de Marcel Duchamp. Le ballet est accompagné d’une musique électro-acoustique inspirée des bruitages de Satie et interprétée par un musicien mobile au plateau.

photo Maous - Spectacle de danse contemporaine par la Cie Ecart

Maous - Spectacle de danse contemporaine par la Cie Ecart

Danse - Bal - Cabaret, Exposition, Musique

Saint-Vallier 71230

Le 16/02/2022

Maous aborde, en trois tableaux, différentes facettes de la démesure, en convoquant des figures incontournables de l’art moderne. Tableau 1 : « Et si on gonflait des microbes » ? Exploration des contraires : lourd / léger, grand / petit, par le jeu des danseurs avec des ballons gonflés évoquant l’univers de Jeff Koons. Tableau 2 : « Parade 2.0 » : où l’on s’invite dans l’univers du ballet Parade, créé en 1917, en pleine période dadaïste, et auquel ont participé Picasso et Satie. Séquence émaillée d’instants insolites et drôles bousculant les codes du raisonnable, et rejoignant l’insouciance de l’enfance. Tableau 3 : « Dis-moi ce que tu vois » : La vitesse comme moyen d’animation, de déformation des corps des danseurs, jusqu’à ne presque plus les voir, en référence à la Roue de Marcel Duchamp. Le ballet est accompagné d’une musique électro-acoustique inspirée des bruitages de Satie et interprétée par un musicien mobile au plateau.